(Photos DR) |
Voici un résumé de ce congrès :
- Participation à la manifestation des salariés de Mondadori, dont les emplois sont menacés. Devant les grilles du ministère de la Culture, nos drapeaux y ont-ils alerté le ministre ?
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Visite
surprise du ministre de la Culture Franck Riester, qui a assuré les
journalistes de son soutien. Le discours très offensif du premier secrétaire
général du SNJ, Vincent Lanier, a été beaucoup plus applaudi que celui du
ministre.
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Déontologie :
le SNJ est favorable à la création d’une instance d’auto-régulation de la
profession, à condition qu’elle soit indépendante de tous les pouvoirs.
- L’indépendance des journalistes est en danger, autant qu’en 1918 lorsque le SNJ s’est créé pour lutter contre le « bourrage de crâne ». Voir notamment l’interview de Véronique Hummel par les étudiants qui ont couvert le congrès : http://100ansdejournalisme.fr/2018/10/19/au-journal-de-lile-de-la-reunion-lindependance-en-danger/#comment-22
- L’indépendance des journalistes est en danger, autant qu’en 1918 lorsque le SNJ s’est créé pour lutter contre le « bourrage de crâne ». Voir notamment l’interview de Véronique Hummel par les étudiants qui ont couvert le congrès : http://100ansdejournalisme.fr/2018/10/19/au-journal-de-lile-de-la-reunion-lindependance-en-danger/#comment-22
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Le
« web first » s’impose de plus en plus dans la presse. S’il semble
contre-productif de refuser l’évolution technologique, le SNJ veut défendre les
droits et la santé des journalistes dans une organisation qui ressemble de plus
en plus aux « 3x8 » du début du XXe siècle… si nous n’intervenons
pas.
Voir également la résolution finale du congrès : http://snj.fr/article/r%C3%A9solution-finale-du-congr%C3%A8s-du-centenaire-1378796617
Manifestation avec les confrères de Mondadori devant le Louvre et le ministère de la Culture. |
Exposition "100 ans de combats pour la liberté de la presse", une femme reporter de guerre dès 2013. (Ici avec Georges Bourdon, pilier du SNJ) |
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