En 2018, le Syndicat national des journalistes a 100 ans. Cent années de luttes et de défense de notre profession, dont nous bénéficions tous, y compris les plus hostiles au syndicalisme. Nous connaissons tous un confrère ou une consoeur qui explique, bravache, qu'il/elle "n'a jamais eu besoin des syndicats".
Et bien c'est faux!
- Si nos employeurs doivent respecter une grille salariale, c'est grâce au SNJ. Elle est souvent trop faible, mais sans elle, ce serait encore pire.
- Si des journalistes réunionnaises ont obtenu une augmentation de salaire en application d'un accord d'égalité hommes-femmes, c'est grâce au SNJ.
- Si nous percevons un 13e mois, c'est grâce au SNJ.
- Si nous avons un avantage fiscal (allocation pour frais d'emploi) qui compense partiellement nos faibles salaires, c'est grâce au SNJ.
- Si des journalistes réunionnais ont obtenu un vrai contrat et non une collaboration d'auto-entrepreneur sous-payée, c'est grâce au SNJ.
- Si des pigistes ont obtenu des indemnisations supplémentaires après jugement au tribunal, c'est grâce au SNJ.
- Si les journalistes perçoivent leur prime d'ancienneté, c'est grâce au SNJ.
- Si certains hommes politiques ont manifesté leur soutien à la liberté de la presse, c'est grâce aux manifestations organisées en janvier 2015 par le SNJ. Ce qui n'a pas empêché ces mêmes personnages d'attaquer certains journalistes, mais le SNJ a toujours défendu les confrères.
- Et on pourrait encore allonger la liste... Contrairement à la pratique dans d'autres pays, les syndicats français négocient pour l'ensemble des salariés et pas seulement pour leurs adhérents.
Alors, journalistes de l'océan Indien, n'hésitez plus: adhérez au SNJ pour être mieux informés sur vos droits et sur les moyens de vous défendre. Et surtout pour que nous puissions continuer à défendre notre métier!
Voir le détail sur notre page "Rejoignez-nous".
Renseignements: snjreunion@gmail.com.
Renseignements: snjreunion@gmail.com.
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